- Témoignage de Christian (2007)
« Voici une première expérience d’une séance d’Etiomédecine qui m’a aidé à reconnaître et à extérioriser des émotions certainement profondes mais pour lesquelles je n’avais encore prêté aucune attention.
Des larmes et des éclats de rire incontrôlables restent les témoins de ces tensions accumulées et bien emprisonnées. Des pressions abdominales entraînant une douleur lancinante au niveau des vertèbres lombaires ont été ainsi relâchées faisant disparaître celle-ci ainsi que des contractions à l’épaule droite.
Depuis, une sensation agréable de bien-être et de légèreté, une attitude plus juste et compréhensive m’accompagnent chaque jour. Cette première approche si spécifique à l’Etiomédecine m’invite à poursuivre cette démarche dynamique et bienfaisante. »
2. Témoignage de Jean-François (2011)
« Merci à Mr Ronsse Frédéric pour les soins que j’ai reçus de lui au niveau des blocages, des stress et de l’alcool dont j’ai pu me libérer. »
J’ai pu retrouver une confiance en moi et du travail.
3. Témoignage de Catherine R. (2014)
« J’ai été amenée à consulter M Ronsse en tant que kinésithérapeute pour des problèmes de dos, à un moment particulièrement difficile de ma vie : cap de la cinquantaine, séparation après une vie maritale sans affection. Le bilan de mon demi-siècle était lourd à porter. J’étais tendue à un stade où les douleurs physiques, mais surtout psychologiques, étaient devenues insupportables au point de chercher à les fuir, les endormir. L’alcool aurait pu me faire définitivement sombrer, moi qui n’ai jamais apprécié les vins et les spiritueux, mais ce fut momentanément la seule solution que j’ai trouvée pour anesthésier la douleur. Je n’avais pas envie de mourir, mais je n’arrivais plus à vivre.
M Ronsse m’avait été recommandé par mon médecin, une personne exceptionnelle qui a su m’écouter, me comprendre sans pour autant me juger et en qui j’ai une entière confiance. Ce détail est important car lorsque M Ronsse m’a proposé l’Etiomedecine, je n’aurais sans doute pas adhéré avec autant de facilité à cette méthode de soin qui m’était inconnue.
C’est donc en toute confiance que j’ai déposé mon fardeau dans les mains de Mr Ronsse, laissant de côté ma honte d’en être arrivée là, les regrets de mes échecs et ma culpabilité. J’avais besoin d’avancer et ma guérison ne pouvait se faire sans sincérité envers mon thérapeute et moi-même. D’ailleurs, je l’ai compris par la suite, si les mots peuvent parfois trahir nos pensées, le corps, lui, ne sait pas mentir.
Voilà maintenant presque deux ans que Mr Ronsse travaille patiemment à ma guérison. J’évolue petit à petit, pas à pas et je mesure déjà les progrès. Un exemple très concret est l’abandon total de consommation d’alcool depuis près d’un an et demi, sans que je ne ressente aucun manque. J’ai toujours la cinquantaine et le même passé, mais maintenant l’espoir d’être heureuse. Il y a certes, encore des moments difficiles, des plaies à cicatriser, des douleurs (les miennes ou celles qu’on m’a transmises) à dompter, mais j’avance, avec maintenant la ferme conviction de pouvoir vivre un jour pleinement et en toute conscience. C’est le cadeau que je me suis promise de faire à mes proches mais aussi grâce à leur générosité et patience, à mon médecin et M Ronsse qui m’auront permis cette renaissance.
Avec toute ma gratitude. »
4. Témoignage de Clémence (2017)
« Après une intervention chirurgicale de l’épaule et des tendinites à répétition, j’ai cru que ma carrière professionnelle était terminée.
J’avais 55 ans lorsque Mr Ronsse m’a parlé d’étiomédecine, je ne savais pas ce que c’était.
Cette pratique m’a permise de libérer des non-dits, des blocages, j’ai réussi à diminuer les ¾ d’un traitement anxiolytique dont j’étais dépendante durant 25 ans.
Cette médecine m’a permis également de continuer d’exercer jusqu’à l’âge de 62 ans une activité passionnante mais difficile.
Un grand merci à Mr RONSSE. »
5. Témoignage de Simone (2014)
« A Mr Ronsse, un kiné sans épine !
Ce poème comme témoignage d’une expérience vécue.
– Après L’orage –
La terre s’est parfumée, de pluie
Grisées les narines frémissent
La colère s’est évanouie
Ce fut un grand feu d’artifices
Le vent caresse la crinière
D’une femme au milieu d’un champ
Le corps planté dans la lumière
Son cœur voyage en cerf-volant
Elle a tué le temps
Si et si longtemps
Que son corps, diapason
Vibre au gré du vent
A sa bouche entrebâillée
Son souffle chaud : une fumée
La peur s’est évaporée
A son front perle une rosée
Les yeux palpitent sous ses paupières
Closes. Au grand jour elle renaît
Enterre les lance-pierres
Allume les calumets
Elle a tué le temps
Si et si longtemps
Que son corps, diapason
Vibre au gré du vent … »